La vérité en face des yeux

Coachman est en train de marcher dans les coulisses de l’aréna, comme s’il aurait le feu au cul, le caméraman essaie de le suivre du mieux qu’il peut.

Il passe devant les loges et regarde les noms, il semble chercher pour quelqu’un, quand il voit enfin le nom Batista, il reprend un peu son souffle, avant de cogner sur la porte, mais aucune réponse. Il cogne à nouveau, mais toujours rien.

Il semble déçu, mais quand il se retourne, il tombe en face de l’Animal lui-même.

Batista : Tu me cherchais?

Coachman : Oh bonjour Batista, oui j’aimerai quelques mots pour les fans.

Batista : Admet le, tu pensais vraiment que j’étais écraser sur le sofa, comme un vulgaire couch potato, en pensant que j’étais en train de me claquer 12 bières avec une tonne de chips ou de nachos.

Coachman ne veut pas vraiment admettre son arrière pensée.

Batista : Peu importe ce que tu penses, who cares. J’étais en train de me pratiquer au gym, car je vais avoir tout un affrontement au ppv, digne d’une tête d’affiche.

Batista : Au début c’était un three way match, mais la coquerelle mexicaine a pogner la chiasse et la tourista, il a voulut dégager le portrait, mais tant pis pour lui, il se donne seulement un petit répis pour m’affronter, mais il aura son cul botter de toute façon par Kennedy ou Monty.

Batista : Et sur un temps plus sérieux, je vais devoir combattre un des pires drama queen qu’a connut cette ligue, en Joshua Uso. Un pleurnichard de la pire espèce. Il est bon pour parler des autres, mais n’est pas capable de se regarder dans un miroir. Il est facile de juger les autres, quand tu ne les connais pas. Tu vas te faire mal, et tu ne le sais pas encore.

Batista : Il ne suffit pas tout simplement d’arriver ici, et croire que tout va t’être donner dans les mains. Tu es loin de recevoir tout un traitement de ce genre. Pourquoi d’ailleurs portes-tu le surnom Main Event? Quand tu n’as rien accomplit ici, et malgré une simple aventure de 3 mois.

Coachman : Je crois que c’est 4 mois?

Batista : On s’en sacre, je ne m’arrêterai pas sur une insignifiance de ce genre. Je suis un vétéran oui, tu sembles toujours en avoir contre les vétérans, pourtant plusieurs d’entre eux t’ont déjà botter le cul, et je peux te confirmer, que ce n’est pas encore finit. Que ce soit HHH, Benoit, Kennedy ou bien d’autres, il y en a encore, qui vont te montrer la porte de sortie. La seule loge que tu mérites d’avoir ton nom dessus, en venant dans un nouvel aréna, c’est sur une porte des toilettes. Car tout ce que tu vaux, c’est de la merde. Tout ce que tu dis pues au nez du monde, ils n’osent peut-être pas te le dire, mais moi je n’ai pas ma langue dans ma poche, et je te le dis. Tu n’es pas une personne honnête, tu n’es pas digne du respect, tu n’es pas digne de fouler ce ring. Car tu es un déchet humain.

Batista : Si tu veux dénigrer le 3/4 de ce roster, tant pis pour toi, car il y a le 3/4 de ce roster qui peut te battre le cul aussi. Tu crois trop en tes moyens, tu te crois trop au sommet, tandis que tu n’as même pas encore monter le premier échelon. Tu vas te planter mec, et te tu ne vas pas te rater. Et quand ca va frapper, ca sera de plein fouet. Et personnellement, je ne voudras pas voir ca, tellement que ca sera dégueu. Tu peux te faire haller la gueule, mais quand c’est le temps de livrer, tu flanches, tu t’écrases, mal sale.

Batista : Oui je peux parler, mais moi je sais comment livrer la marchandise, tu ne me connais pas, et je sais que tu ne voudrais pas me connaitre. Car tu sais dans le fin fond, quel genre d’enfer que tu vas vivre lorsque le ppv arrivera. Je vais te torcher, et je vais prendre ce titre autour de ta taille. Que tu le veuilles ou non. Il n’y aura pas d’échappatoire. La chiasse mexicaine n’est plus là, alors il n’y a plus d’excuse, it will be a man vs a man. Si encore on ose t’appeller un homme, car il y a plusieurs doutes sur ce fait. Tu penses avoir les couilles, le guts, pour venir challenger, pour dire que tu vas écraser la compétition, mais le résultat est bien trop souvent le contraire, alors pourquoi dire des choses comme ca, quand le contraste est évident.

Batista : Oui, je ne te connais pas beaucoup, mais j’ai vu, j’ai observer, j’ai étudier, et tout ce que je pensais, je peux sûrement bel et bien le confirmer. Tu es un restant de crasse, puisque l’autre moitié est sûrement ton frère. Vous arrivez ici, en vous pensant comme des nouveaux shériffs en ville. Mais moi je suis le marshall, et je vais t’écraser telle une vulgaire proie. Je suis un véritable prédateur, tu te penses dans le far west, mais dans le fond, tu entres dans un monde bien dangereux, telle une jungle. Tu ne me vois pas, mais je suis bel et bien là, au travers les branches, à l’écart des regards, bien caché, et prêt à sauter sur l’occasion. Et ca sera au ppv, quand tu ne t’y attendras pas. Je vais par la suite, laisser ta pauvre carcasse là pour laisser passer un message aux autres, je vais faire de toi un exemple. Que feras-tu quand les gens vont te croiser, après cette cuisante défaite? Ils vont te demander comment on se sent, comme une vulgaire proie, un pantain de la pire espèce. Tu vas sûrement essayer de leur raconter un mensonge, pour cacher la vérité, mais celle-ci finit toujours par se savoir.

Batista : Et la première vérité que je vais te montrer, c’est que tu n’es pas de taille face à une bête, à un animal comme moi, je suis le prototype parfait, je suis l’être suprême, et bientôt tu vas me remercier, car tu pourras retourner boire de la bière et manger tes nachos, dans ton bar, avec tes frères, ton père, et le reste des zélés qui te tiennent compagnie.

Batista fixe Coachman, avant de lui sourire, il entre dans sa loge après pousser la porte, laissant un Coachman assez surpris de tout ces propos assez brutales.