Éthylone | Storyline (Part 2)

Le camion entra dans le grand bâtiment, puis deux hommes s’occupaient de descendre la grande porte pour dissimuler leurs activités criminelles. Un des hommes ouvrit la porte du camion pour y découvrir une grande quantité de boîtes. Il se dirigea vers le fond du camion, sortit un couteau, puis ouvrit une boîte. A l’intérieur se trouvait plusieurs sachets contenant une poudre blanche. Il en sortit un, souria, puis l’embrassa. Un homme vêtu d’un veston cravate sortit de son bureau et regarda le véhicule.

Martin Brown: Trevor! Where the fuck were you? Ça fait quatres heures qu'on t’attend!

Trevor ouvrit la porte du camion, descendit, puis regarda Martin dans les yeux.

Martin Brown: Trevor? Qu’est-ce qui t’es arrivé?

Le patron toucha le visage enflé de son employé.

Trevor: Est-ce qu’on peut parler dans votre bureau, monsieur Brown?

Martin fit un signe de main à Trevor et monta dans son bureau. Le conducteur s’installa sur le canapé alors que le patron s’asseyait sur sa chaise.

Trevor: Désolé du retard monsieur Brown. Je vous jure que je ne l'ai pas fait exprès. Quand j’étais sur le point de partir, un homme a sauté sur Johnny et à commencé à le frapper. Je ne savais pas quoi faire, je vous le jure patron.

Martin Brown: Et où est Johnny en ce moment?

Trevor: Au hangar. Enfin, je crois. Tout s'est passé si vite. J’ai tenté de m’enfuir avec le camion, mais quand j’ai regardé dans le rétroviseur, je ne le voyais plus. Il m’a ensuite agrippé par la veste pour me jeter sur la route, puis il s’est mit à me frapper. Il m’a ensuite dit de venir vous voir pour vous dire que Retaliator m’a laissé partir et que votre fin approchait.

Martin Brown: Tu veux dire qu’il t’a laissé partir? Est-ce que tu es sûr qu’il ne t’a pas suivi?

Trevor: J’ai regardé dans le miroir pratiquement toute la route. Je ne l’ai pas revu depuis.

Martin Brown: Est-ce que tu lui a dit pour qui tu travaillais?

Trevor: N… Non…

Martin hésita un moment, puis hocha de la tête doucement.

Martin Brown: Hmm. Je doute que ce type soit du genre à faire des blagues, peut-être qu’on devrait prendre cela relax pendant quelques jours, question de ne pas attirer l’attention. Allez, va te faire guérir.

Brown remua sa main pour faire sortir Trevor et  ouvra le tiroir de son bureau de travail pour en sortir un cigare cubain. Il l’alluma pour fumer en silence en regardant par la fenêtre qui donnait sur le camion de marchandise.

Trois jours plus tard

Martin se leva de sa chaise pour aller voir les employés dans l’entrepôt. Une fois devant la porte, un bruit tissu frottant sur du cuir détourna son attention.

The Retaliator: Ça sert à rien que tu sorte, tu ne trouveras personne.

Le patron se retourna pour faire face à Retaliator, assis sur le canapé .

Martin Brown: Comment m’as-tu trouvé?

The Retaliator: J’aurais bien aimé dire que j'ai couru après le véhicule de votre employé, mais je n’ai malheureusement plus l’endurance pour cela. J’ai préféré utiliser un AirTag pour trouver votre entrepôt.

Martin Brown: Fucking Trevor… Always got to clean up his fucking mess.

Martin retroussa ses manches, puis sauta sur Retaliator, mais fut rapidement arrêté par un coup de pied reçu droit dans les bijoux de famille. Il se plia en deux en gémissant de douleur alors que son assaillant se redressa.

The Retaliator: Ce n’est pas très poli d’attaquer un homme qui tente de relaxer sur le canapé d’un ami.

Le justicier prit son adversaire par le chandail et le lança tête première dans la fenêtre de la porte. Brown sortit se releva, se remua les épaules, puis essuya le sang qui coulait des coupures sur son visage.

Martin Brown: You are so done.

Il poussa un cri de guerrier, prit le couteau dans ses poches et sauta sur Retaliator. Le couteau se planta directement sous son omoplate, puis s’effondra dans un cri de douleur. Martin monta ensuite sur son dos, puis renfonça le couteau plus profondément dans la plaie sous les cris de douleurs de Retaliator.

Martin Brown: You like that tough kid?

Retaliator prit une grande respiration, puis attrapa la cuisse de son ennemi, puis sera du plus fort possible. Ses ongles se mirent à s’enfoncer dans la chair de Martin puis une tache de sang apparut sur son pantalon. Brown tenta de retirer la main de sur sa cuisse, mais le justicier la relâcha juste avant pour profiter du moment de distraction pour attraper sa main. Retaliator tira d’un coup pour retirer Martin de son dos. Il se releva et se mit à le frapper au visage à de multiples reprises. Il agrippa le couteau dans son dos en soupirant de douleur et le pointa devant les yeux de Martin.

The Retaliator: Tu as deux choix maintenant. Soit tu me dis où je dois aller pour rencontrer ton patron, soit tu perds un œil, c’est toi qui décide.

Martin Brown: Et tu crois vraiment que je ferais ça pour toi?

The Retaliator: Non, mais tu le ferais pour Emma.

Martin Brown: Quoi?! Comment tu as le nom de ma fille?

The Retaliator: Disons que j’ai fait mes études. Elle m’a dit qu’elle a hâte de te revoir.

Martin Brown: Espèce de cona…

Le justicier approcha le couteau de la gorge de Brown.

The Retaliator: Woh, woh, woh. Minute papillon. Tu ne voudrais pas gâcher le futur de ta fille. Je déteste me répéter donc, qui est-ce qui vous fournit la marchandise.?

Martin Brown: D’accord, je vais parler.

Il poussa un long soupir, puis commença à parler

Martin Brown: Je suis seulement qu’un distributeur, je ne dirige pas grand chose par ici. Tout ce qu’il y a ici est fourni d’un type plus haut. Un homme avec beaucoup de pouvoir. Le genre de gars que tu veux pas avoir à faire généralement. Tony Marino. Il s’occupe de nous fournir les drogues à moi et une trentaine d’autres gars un peu partout en Amérique. Je suis déjà allé le voir une fois. Un grand manoir dans le sud du Nouveau Mexique. Je doute que tu ne sois pas capable de le trouver. Même la police sait où il est. Ils n’ont juste pas le droit d’intervenir. Disons simplement que Marino est capable de détruire ta vie entière si il se fait prendre.

The Retaliator: Merci beaucoup.

Le justicier poignarda le distributeur dans le pied droit pour l’immobiliser. Brown se mit à hurler.

Martin Brown: WHAT THE FUCK DUDE! J’AI FAIT CE QUE T'A DIT!

Retaliator ouvrit le tiroir du bureau de travail, puis sortit une grenade et prit le téléphone. Il mit le combiné dans la main droite de Martin, retira la goupille de la grenade et la mit dans la main gauche pour qu’il tienne le levier .

The Retaliator: Je te laisse les deux trucs dont tu as besoin, fais ce que tu penses qui est mieux pour ta famille. Au revoir Monsieur Brown.

Retaliator sortit du bureau, puis une fois à l’extérieur de l’entrepôt une détonation retentit, puis l’alarme de feu se fit entendre.



30 Janvier 2024, Détroit

Un verre de whisky à la main, Johnson était assis seul dans son salon à regarder la télévision. Soudainement, une publicité du Royal Rumble de la WWWF montrait des extraits de Kennedy et de Retaliator pour promouvoir le combat pour le titre Nord Américain lors du prochain PPV.

Détective Johnson: Son of a bitch.

Johnson prit son téléphone portable et appela le poste de police.

Détective Johnson: Je l’ai trouvé. Contactez la police locale de Lincoln. On va le prendre par surprise. C’est certain qu’on la.