El.Jefe
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Date d'inscription : 04/10/2019
 |  Sujet: "The Monster" Matanza Cueto Vs "Mr.WWWF" Damian Cutter  Ven 4 Oct - 9:50 | |
| Nous pouvons apercevoir Dario Cueto de loin, boitillant, à vrai dire, cet homme d’affaire mexicain n’a rien de bien effrayant. Quoique pour affaires, il n’a aucun égal. Pourtant, le voici dans un lieu bien intriguant. Nous pouvons apercevoir Dario Cueto de loin, boitillant, à vrai dire, cet homme d’affaire mexicain n’a rien de bien effrayant. Quoique pour affaires, il n’a aucun égal. Pourtant, le voici dans un lieu bien intriguant. La bruine de Los Angeles est tellement épaisse qu’elle ne laisse presque pas transparaitre ce qui semble être une usine désinfecté reconverti en immeuble commercial. Bien que la caméra soit assez prêt de lui, l’image reste néanmoins floue et imprécise…La seule chose qui demeure clair devant l’objectif est une grande clé portée au cou. Le genre de clé ancienne et rouillé dont on a perdu l’utilité.''El Jefe'' Dario Cueto - Vous vous demandez probablement ce qu’un homme comme moi fou ici. Quel genre d’individu saint d’esprit pourrait roder par ici durant la tombé du jour lorsque la sécurité est moindre. Disons qu’en quelque sorte, je n’ai peur de rien. Peur de rien puisque ce quartier est à moi. Croyez-moi, je sais de quoi je parle. C’est ici que moi et mon frère avons été élevé. Ici, personne ne ce souci de quiconque. À chaque jour nous devions prendre soin l’un de l’autre. Mon frère, le monstre Matanza, lui, était plutôt du genre pragmatique. Les gens ici ne connaissent que la manière forte. Regarder au-dessus de nos épaules, ça nous connait. Les pourritures sont comme notre ombre, ils nous suivent partout où nous allons! Ils guettent le moment propice pour frapper et au moment où vous vous y attendez le moins, elle vous plante une dague dans le dos! BANG!Il sourit malicieusement tout en fixant la caméra comprenant que son effet surprise fut un succès.''El Jefe'' Dario Cueto - Je suis un homme d’affaire. La WWWF n’est qu’une autre question d’affaire parmi tant d’autre. J’ai donc saisi cette opportunité de remporter encore plus d’argent tout en servant mes propres ambitions. Qu’y-a-t’il de mal à utiliser ce que l’on possède, n’est-ce pas? Toutefois, vous ignorez ce que je possède. Seriez-vous intéressé par une visite des lieux? J’imagine que oui, sinon comment expliquer votre présence ici. La rumeur qui courait était donc vraie, mon frère devra affronter ce parasite de Damian Cutter. Bien que je ne le connaisse pas personnellement, cet homme qui rit de la défaite car son nom et le mot "défaite" dans la même phrase sonnent comme un doux euphémisme. Il jongla doucement une de ses clés durant son déplacement vers le bâtiment. Seulement à quelques pas d’une grande porte d’acier, Dario s’arrête net.''El Jefe'' Dario Cueto - J’ai un avertissement pour toi Damian. Car, j’ai cru comprendre que tu étais l’heureux désigné pour affronter mon frère, quoiqu’honnêtement, il n’y a rien à se réjouir. Tâches d’écouter, car la suite sera des plus intéressante et instructive pour toi. Je te connais comme tout dominant connaît son dominé.Disons que pour faire une histoire courte, au fil des années j’ai pu édifier un réseau fiable de gens me devant des faveurs. Par contre toi, personne ne t’apprécie vraiment, j’ai raison? Tu joues encore au garçon audacieux qui se croit au-dessus de tout le monde. Qui es-tu vraiment? Quel genre d’homme représente-tu ? Certes un lutteur qui a fait sa place, mais remontons aux racines pour comprendre le vrai sens de ton échec. Certes, tu as une certaine notoriété je te l’accorde. Tu combats d’abord pour aller plus haut, mais tu ne t’arrête pas là, et tu es prêt à n’importe quel sacrifice pour te hisser au sommet. Lécher les bottes du président, draguer sa fille, t’entourer des meilleures personnes et meilleurs amis, t’associer à d’autres, puis les trahir un par un. Tout cela dans le seul but de ton intérêt personnel. Tu n’es qu’un coyote, une hyène. Ce genre-là. Plus on les voit, plus l’envi de les étriper monte. Une vulgaire hyène qui montre les crocs mais s’enfuit devant l’adversité la queue entre les jambes. En apparence tu sembles être un homme de charisme, de taille, d’humour et d’aise sur le ring, mais à l’intérieur, ton âme est aussi sèche et stérile que celle d’un chien errant! Pour être honnête, tu n’es pas très loin de ce que je convoite comme second homme de main. Que l’on se comprenne, je doute que ce soit aussi facile pour un comme pour l’autre. Jamais tu ne te soumettras et jamais je ne pourrai me faire à l’idée de manquer une chance de te voir t’agenouiller devant mon frère…j’ai déjà hâte. Le public va adorer.Il applaudit bêtement.''El Jefe'' Dario Cueto - Que ce soit bien clair pour toi, enfin si tu comprends ce que je te dis. Avant mon arrivée, les faibles se disputaient à savoir qui trônerait au sommet de la WWWF. Pendant un court moment, tu aurais pu être celui qui peut prétendre être roi ou comme tu aimes t'appeler Monsieur WWWF...Va savoir que mon frère saccagera toute cette ordre qui étais déjà prédisposer à s’effondrer. Trop longtemps les hommes dans ton genre mon démontrer que savoir s’exprimer c’était important, surtout quand on travaille dans ce genre de business. Malgré cela, l’important ce n’est pas de parler, c’est de se faire écouter. Tu appartiens à une autre époque, ser del año de la pera.Le caméraman semblait être de moins en moins à l'aise de se trouver à cette place.''El Jefe'' Dario Cueto - Mon père m'a apprit quelque chose quand j'étais petit. C'est probablement la seule chose qui n'ait jamais fait d'ailleurs. Il me disait tout le temps "Si tu n'es pas confiant dans la vie, tu n'irais jamais nul par mon fils!" Ça nous fait au moins une chose en commun Damian. De ce que j'ai pu comprendre de ce que j'ai entendu sur toi. J'ai un conseil à te renvoyer. Regarde où tu mets les pieds, tu risques de marcher sur la merde que t'es en train de raconter. El burro sabe mas que tu! Un cri male perçant se fit entendre. Dario regarda la grande clé avec un grand sourire avant de doucement l’insérer dans l’ouverture, mais il n’ouvrit pas la porte.''El Jefe'' Dario Cueto - Je sais que tu meurs d’envie de le rencontrer. Hélas, je ne peux pas courir le risque de le libérer seulement pour ce soir. Ce doit être une occasion spécial car tu vois, mon frère au niveau de la loi, n’est rien de moins qu’un monstre, et ce pourquoi tu dois te demander. Le syndrome de la mèche courte? Ça existe non? Pour le peu de ce qui reste de mon frère en bas, sache qu’il ne connait aucune limite et de nombreuses fois il a été jugé trop sévèrement pour ça. On l’a récemment mis dans une pièce toute noire, avec une camisole de force et une caméra nocturne. La pièce toute noire est pour lui, selon les spécialistes, ils disent à son sujet qu’il a développé avec le temps des maladies tel que le nihiliste et la misanthropie. La camisole de force est pour moi, parce qu'on sait que sans cela je pourrais avoir des problèmes à le contrôler. Damian. Deux choix s'offre à toi, le premier choix et je dois dire que celui-là ne me plait pas beaucoup, tu abandonnes l'idée de combattre mon frère et tu gardes le peu de dignité qu'il te reste. Deuxième choix, tu ne tiens pas compte de ce que j'ai dit et combat quand même, et là tu perdras non seulement ta dignité, mais quelques dents au passage. Ce qui se passe du moment où la cloche sonne jusqu’à ce qu’elle resonne une seconde fois, soy lavarse las manos, je m’en lave les mains.Il entra dans l’immeuble et aussitôt la lumière des lampadaires extérieurs disparut. Dario s’avança dans le couloir assisté purement de la lumière émit par la caméra. Il examina de gauche à droite et se tourna vers l’homme tenant la caméra en riant. Celui-ci qui vint se mettre à ses côtés quand il entendu une seconde fois Matanza beugler.''El Jefe'' Dario Cueto - Tu entends ça? C’est ta faute Damian. Es tu culpa! Au-dessus de ça? J’y crois pas. Trois secondes... C’est le temps dont mon frère a besoin pour te montrer que tout ton sens de l'humour, ton ignorance et ton sarcasme n'auront pas l'effet habituel. Si ça fonctionne avec d'autre, sache que mon frère ne sera même pas au courant de ce que tu as dit. Ce qui te laisse déjà une mince chance de plus. J'adore voir un combat! Ce que j'aime encore plus, c'est de voir un combat à sens unique. Outre ton audace, tu es aussi très divertissant pour un homme ordinaire... Ce petit numéro me distrait assez je dois dire. Prouves que tu vaux mieux que ça et alors tu t’écrouleras en brave sur le ring et montera dans mon estime! Et qui sait, si tu respires encore après que mon frère t’ait démoli, peut-être vais-je t’engager pour un numéro d’humour dans ce quartier de merde…Pas plus tard que maintenant et tout de suite je vais répondre à cette requête qui fait brûler d'envie tout le monde, ce qui se révèle aussi être la dernière volonté du condamné...  Après avoir franchi une bonne distance dans le bâtiment, Dario fit signe qu’il voulait la caméra. Il enclencha le mode vision nocturne. Puis, il déposa la caméra par terre. Lorsque le caméraman compris la situation, la panique s’emparas de lui. Il tenta de se guider avec la lumière de son cellulaire, mais ce qu’il vit en face de lui, lui glaça le sang. Une cage tout en vitre s’allongeant jusqu’au plafond. Il ne pouvait distinguer ce que cette chose pouvait bien être. En s’approchant de plus près, il réussit à distinguer une silhouette enchainée par les pieds. Dario hochait la tête avec un sourire malfaisant.
The Camera Guy - Qu’est-ce que c’est que cette chose?
''El Jefe'' Dario Cueto - Je te présente…mon frère. MATANZA! Regarde ces mains, regarde-les bien. Il y a tellement de sang sur ces mains. D’une certaine façon, je suis fier de quelques événements, d’autres moins. Peu importe ce que vous pourrez penser de moi, enchainer mon frère fut la chose la plus pénible à faire de ma vie. Il n’est jamais content. Peu importe ce que je lui offre.
Dario poussa le caméraman dans la cage et referma la porte. Aussitôt la silhouette inanimée se redressa la tête au son de la voix de son frère. Le bruit causé par le frottement des chaines n’aidant pas à la cause, le caméraman tomba à genoux. Matanza hurla une troisième fois puis la caméra coupa sous ces paroles.  | |
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