Sabu
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 |  Sujet: "Exposés oraux" feat. Jun Kasai (RR: Crazy Shady & Demolition -1/1)  Mar 3 Nov - 21:14 | |
|  On reconnait la vieille salle de classe que No Future à utiliser afin de parler de ses adversaires lors de Locked & Loaded. Les quatre hommes errent dans la pièce, détruisant quelques pièces de celle-ci au passage. Jimmy Havoc se retrouve derrière de ce qui semble être le bureau de l’enseignant, se racle la gorge et calme le jeu, sur un ton sévère.
« Die, Jimmy, Die » Jimmy Havoc : SILENCE, CLASSE !
Cette déclaration surprend Drake, qui n’est pas habitué aux facéties du trio. Sabu et Kasai retiennent leur rire suite à la réaction de Drake.
« Die, Jimmy, Die » Jimmy Havoc : Je suppose que vos exposés oraux sont prêts ? Monsieur … Kasai. A vous !
Thomas Drake semble confus pendant que Sabu prend place en relevant une chaise qui était au sol. Kasai lance son titre sur le premier bureau qu’il voit et s’assoit nonchalamment sur le bureau de Havoc.
« Crazy Monkey » Jun Kasai : Destruction. Écroulement. Bris. Trois mois qui sont synonymes de Demolition. Pourtant : un seul d’entre eux les définit vraiment, au fond : bris. Une cassure. Une petite craque. Rien de trop grave. Rien de trop compliqué à réparer, au fond. Moi, un menuisier du dimanche, je peux me facilement réparer le tout afin que tout soit comme neuf. Pas de trace, rien. Comme si rien ne s’était passé. Rien qu’un roulant de ruban adhésif ne peut pas réparer. La démolition fut promise, mais rien de tout ça ce passe, jamais. Voilà un court résumé d’Ax et Smash et de toutes ces paroles en l’air. Tant de promesses dont on se cr*sse, dans l’absolue. Tant de déception. On dirait que votre défaite contre Abraham Kennedy & Triple H vous fait encore de l’effet, où était-ce brillamment orchestré afin que les deux crétins se pavanent devant nous en réclamant quelque chose qu’il pense mérité ? Je s’rais surpris, honnêtement puisque Demolition n’as pas cet intellect, cette façon de faire. Demoltion, c’est deux lourdaud, deux abrutis, deux f*ckboy qui sont encore dans les pattes de No Future parce que, eux aussi, pense qu’ils méritent d’être dans la conversation. Quelle conversation ? La vie, simplement. Nous sommes au-dessus de tout ça, de toutes ces choses. Je pense même que si ce n’était pas nécessaire au message, on vous donnerait ces foutus bouts de cuir. Ça nous éviterait des tracas ridicules. Mais on ne peut pas, on n’a pas le droit de laisser tout ça tomber pare que, au final, le message est beaucoup plus important et pour que vous nettoyer les oreilles afin d’y porter attention, y nous faut des f*cking carottes pour attirer votre attention. Alors, ainsi soit-il : v’nez vers la carotte, dumbasses.
Sabu se lève et applaudit. Havoc tape sur le bureau, l’air satisfait. Drake s’esclaffe de rire et Sabu prend place pendant que Kasai lui, reprend son titre et s’assoit sur un pupitre. Sabu se racle la gorge.
« Homicidal, Suicidal, Genocidal » Sabu : L’histoire de la WWWF est riche : riche en succès, en échecs, en victoire, en défaites, en réussite, en déception. De nombreuses soi-disant « stars » se sont succédé dans le ring, sans jamais avoir un impact particulier outre celui qu’il croyait avoir. Crazy Shady est un excellent exemple de ce que je tente d’expliquer. Un homme qui se croit plus important, plus grandiose que ce qu’il est vraiment. Pourtant, son nom résonne écho dans les coulisses du temple de la renommée tant chéries par tous et toutes. Le nom résonne, mais ne dit rien à personne. Le nom est connu, mais ne dit rien à personne. Oh : je n’ai rien contre ça, sache-le, mais je dois t’avouer que je suis offensée que tu arrives dans le décor de cette façon. Mais bon, qui suis-je pour juger, Shady : tu portes bien ton nom, au final …
Jimmy Havoc se lève, sourire aux lèvres pendant que Drake et Kasai se mettent à rire. Fade out. | |
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