La ville lumière

Dixon est debout devant la tour Eiffel. Il regarde cette structure imposante, aussi imposante que le Colisée de Rome qu'il avait visité il y peu de temps de cela.

Wade Dixon: Un soir j'étais assis dans mon étable en cherchant ce que je pourrais dire sur le pauvre petit Lolong Donaire. Il se proclame Roi du purgatoire, mais il n'a clairement pas compris ce qu'est la royauté.

Wade Dixon: Tu n'es pas un Roi Donaire, tu n'es qu'un pauvre hypocrites qui se croît au dessus des autres. Je sais que tu es champion, en fait c'est probablement la seule chose que je respecte chez toi. Tu n'es qu'un peureux, sur Twitter quand je t'ai call out pour un match de championnat, je m'attendais à un match contre toi pour ton titre, mais non tu fais ton froussard. Tu es comme tous les autres, tu es un lâche comme Juventud, comme les Usos, comme Paul Wood et comme Kennedy. Tu ne défends jamais ton titre durant les RR, Kennedy j'ai beau ne pas le respecter, au moins lui il défend souvent son titre. Tu es un combattant moyen qui croit qu'en étant champion du monde tu deviendrais en quelque chose d'important, mais tu encore rien. En ce moment je suis en France, ici beaucoup de rois ont vécu, toi tu n'es qu'un imposteur.

Wade Dixon: Monty Brown, l'homme qui soulève des poids et qui pense me faire peur. Tu te crois plus fort que moi parce que tu vas à la gym tous les jours, mais guess what mon grand tu n'es pas aussi en forme qu’Arnold Schwarzenegger. Même Willy Goodman t'écraserait entre ses doigts, s' il était encore avec nous. Au pire tu pourras bencher son cercueil toi qui aime tant prouver ta force. Mercredi c'est moi qui te prouverai ma force quand je te ferai tap out du Dixon lock comme tous les autres.